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PAUSE

Restitution publique d'un projet de théâtre documentaire/ Durée 50 min / Suivi (facultatif) d'un repas sur réservation imaginé avec les artistes

Collectif Le Baril, Ateliers Kennedy & La Bulle Bleue

Avec le soutien de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) Occitanie et l’Esat Ateliers Kennedy (Adpep 34) dans le cadre de l’appel à projet Culture Handicap Santé et Dépendance.

Quelle place prend la pause dans les quotidiens de travailleur·se·s ? Et si parler de la pause n'était qu'un prétexte pour questionner son rôle au travail et sa place dans la société ? Depuis juin à octobre 2022, dans le cadre de l’appel à projet Culture Handicap Santé et Dépendance, Aurélia Gonzalez, Julien Meynier et Virginie Nieddu et Alexandre Cafarelli du Collectif Le Baril ont rencontré des travailleur•se•s ce n’est pas les mêmes points des Etablissements et Services d'Aide par le Travail (ESAT) Ateliers Kennedy et La Bulle Bleue, et ont collecté ce qu'ils avaient à dire, à montrer, de leur travail. À partir de leurs témoignages, Pause met en lumière des hommes, des femmes et leurs métiers : agent·e·s de nettoyage de locaux, cuisinier·e·s, jardinier·e·s, agent·e·s de routage, sous-traitants en accessoires de menuiserie et impression 3D…

Interviews, écriture Virginie Nieddu, Aurélia Gonzalez, Alexandre Cafarelli
Mise en scène Virginie Nieddu
Jeu Julien Meynier et des travailleur•se•s des Esat Ateliers Kennedy et La Bulle Bleue

LE COLLECTIF LE BARIL
Créé en 2013 et basé à Montpellier, le collectif Le Baril est un "contenant d’artistes pluridisciplinaires", qui explore le théâtre documentaire sur tous les territoires : “Nous affirmons que l’humain est une formidable matière à raconter et à rêver. Comme un certain Georges Pérec, nous aimons questionner “ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons (...), ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l'évident, le commun, l’ordinaire, l’infra-ordinaire, le bruit de fond, I’habituel”. En y greffant notre réflexion, notre imaginaire et nos absurdités. Et en créant avec l’ultime conviction scénographique qu’il suffit de trois fois rien pour se mettre à rêver”